Catégories : Gang bang FANTASME
il y a 11 ans
Ce texte n'est pas de moi, si mes souvenirs sont bons, j'ai du le sauver avant que Yahoo ferme nos groupes d'écriture comme "mots blancs/ mots-gris/ mots...." Si l'auteur reconnait son texte, qu'il n'hésite pas à me contacter. TSM ..........................................
Ali Blabla était un honorable marchand de perroquets, c'est d'ailleurs pour cela que les autres commerçants du souk l'avaient nommé ainsi. Ali était amoureux de la fille du sultan mais n'osait guère demander la main de sa bien-aimée car il ne possédait aucun argument pour satisfaire à ses désirs. Ali n'était pas seulement pauvre, mais, en plus à l'age de quarante ans, il était encore puceau !
Sa ziggourat à f o r c e de ne pas servir était devenue une ziggounette, c'est d'ailleurs de là qu'est venue l'expression : "avoir la ziggounette raplapla"! Mais, Ali souffrait d'un autre mal encore plus incurable : il était d'une timidité maladive et parlait peu, c'est pour cela qu'il avait dressé ses perroquets à dire bonjour aux clients et à leur raconter des histoires à dormir debout pendant mille et une nuit.
Le sultan pour marier sa fille avait posé des conditions, il fallait que le prétendant soit non seulement riche mais aussi qu'il assure à sa fille les joies nécessaires à son épanouissement, en résumé, il fallait que le futur époux soit un baiseur de première classe et qu'il puisse satisfaire à tous les caprices et phantasmes de la princesse.
Des prétendants étaient venus de tous les royaumes alentours, riches, parés de cadeaux pour la princesse, aussi beaux les uns que les autres mais au moment de montrer leur virtuosité au lit aucun n'arriva à combler la demoiselle qui se morfondait dans son coin.
La belle en avait assez de ces machos peu inventifs et avec le temps, elle devenait de plus en plus exigeante. Il fallait entendre les princes quand ils discutaient entre eux, à savoir qui avait la plus longue queue de tous les royaumes alentour, à savoir lequel faisait les plus belles minettes, il y en avait même qui se pavanaient dans le jardin la tête en l'air et leur organe sexuel dans la même posture en attendant leur tour.
Lorsque cela arrivait la princesse suppliait son père de ne pas passer "à la casserole" mais la demande avait été diffusée de la sorte que sa fille ne put refuser à aucun des postulants sa candidature, alors elle poussait un long soupir de lassitude.
Ali savait que sa bien-aimée voulait un génie dans son lit. Il désespérait de pouvoir l'épouser d'autant plus qu'il s'était promis d'arriver vierge au mariage mais dans ses conditions comme pouvait-il apprendre à baiser comme un dieu, sans expérience ?
Il fallait avant tout qu'il trouva une fortune bien plus grande que celle des princes venus pour avoir la main de la princesse. Peut-être que celle-ci en voyant toutes les richesses qu'il aurait pu accumuler se laisserait attendrir et qu'elle ne ferait pas cas de sa "ziggounette raplapla" ? Ali n'y croyait pas trop mais il était prêt à tout, même à prendre le risque que sa femme le trompe après le mariage.
Dans la région sévissait un groupe de femmes au nombre de quarante.
Elles séduisaient les hommes, les emmenaient dans un endroit secret, les maltraitaient abominablement avec leurs sexes, les volaient et les laissaient repartir nus de leur repère. Ali avait entendu dire que les princes postulants aux noces avec la fille du sultan avaient presque tous été maltraités et détroussés par ces femelles sans vergogne. C'était la solution toute trouvée pour rendre Ali riche à souhait, voler le butin de ces tigresses. Il décida de se renseigner pour savoir où les femmes cachaient leur trésor de guerre.
Comme il n'avait aucune idée pour connaître l'endroit où se situait le repère des voleuses, il dressa un de ses perroquets à questionner les clients pour savoir où se cachait de l'or, à cette demande les clients riaient de bon cœur, répliquaient qu'ils n'en avaient point et répondaient indubitablement qu'il fallait se faire maltraiter par quarante femmes. Au bout de six mois, Ali malgré le blabla de son perroquet n'obtint aucun résultat : personne dans le souk ne savait où se trouvait l'or des "amazones", d'ailleurs tous les hommes avaient une peur bleue de tomber entre leurs mains, car, en plus elles étaient accusées de châtrer les mâles qui croisaient leur chemin.
Dame Fortune sourit toujours aux audacieux et six mois après avoir dressé le perroquet, Ali aperçut au loin dans le marché, une belle femme montée sur un cheval blanc, personne ne la connaissait mais à la vue des armes qu'elle portait sur elle, tous se doutèrent qu'elle était l'une des "amazones" et se poussaient sur son chemin.
Quand elle arriva à la hauteur d'Ali, elle voulut faire l'acquisition du perroquet qui réclamait de l'or aux clients. Les commerçants du souk voyant la scène retenaient leur souffle ne sachant pas comment le pauvre Ali allait se débrouiller avec cette étrange acheteuse qui exhibait une bourse pleine d'or en vue de sa future emplette. Ali accepta la transaction et décida de suivre la dame pour savoir qui elle était, si jamais elle remarquerait sa présence, il pourrait toujours rétorquer qu'il voulait savoir si la bête était bien soignée.
Ali se mit donc en route mais perdit la Dame de vue derrière les dunes du désert tout proche, il ne lui restait plus qu'à suivre les traces laissées par le cheval dans le sable. Il alla ainsi tout en suivant les empreintes de l'animal jusqu'à la tombée de la nuit et fut tout étonné en voyant les traces s'arrêter au niveau d'un grand rocher, il tourna plusieurs fois autour de la endroit et constata à son effarement que le repère des brigandes était bien là.
Il eut juste le temps de se cacher quand il entendit des bruits de sabots martelant le sol au loin. La première des femmes arriva et fit signe aux autres de stopper, placée devant le rocher, elle se mit à hurler "sésame ouvre-toi " et le rocher se scinda en deux afin de laisser passer la bande des "amazones". Quand il en vit le nombre, Ali transi de peur voulut rebrousser chemin, mais son amour pour sa belle lui donna courage pour rester. Il se convint de passer la nuit près de la caverne et d'attendre le lendemain pour aviser de sa stratégie, car il voulait savoir si l'or était bien dans cette cachette et pas dans une autre. Ali s'allongea sur le sable et s'endormit sous le ciel étoilé en rêvant aux bijoux et palais qu'il pourrait offrir à sa bien-aimée.
Quand Ali se réveilla, le soleil était déjà haut dans le ciel et voyant le sable remué de toute part au pied du rocher, il jugeât bon d'aller visiter l'intérieur du site. Il se mit face à l'entrée comme il avait vu faire la veille la meneuse des cavalières et hurla "sésame ouvre-toi ", comme la veille, le rocher se scinda en deux.
A la vue de ce qui se passait à l'intérieur du repaire, Ali poussa un cri d'effroi.....elles étaient là ! Très vite, il se trouva nez à nez avec une dizaine de femmes plus belles les unes que les autres qui le cernèrent et le poussèrent vers un grand lit, l'attachèrent couché sur le dos, chevilles et poignets écartés. Elles déchirèrent la pauvre tunique d'Ali qui faillit s'évanouir de peur.
Il était nu devant ces femelles en furie. Il eut beau les supplier de le laisser partir et leur promettre qu'il ne dirait rien de le du lieu de leur repère, elles continuaient de plus belle à le tâter à la manière d'un esclave, elles vérifièrent même ses dents et ses ongles. Ali pensait qu'il s'en tirerait à bon compte, s'il était vendu au marché aux esclaves de la ville !
La caverne bien que creusée dans le rocher était vaste et spacieuse mais ne comportait qu'un seul lit. Dans cet antre, sacs, amphores, malles et paniers jonchaient le sol à divers endroits, l'éclairage était combiné à la fois de lampes à pétrole et de torches accrochées aux murs. Les murs étaient peints en blanc, délavés par le temps, Ali y distingua une série considérable de phallus posés le gland retroussé sur des étagères bancales. Ali à la vue de ces horreurs ferma les yeux, son regard chaste ne pouvait pas supporter ces visions. Il hurla, se débattit mais rien n'y fit. Il venait de réaliser en quoi consistait les objets mis sur les étagères.
C'était les bites des malheureux princes que ces femelles avaient scalpées puis empaillées la peau bien tendue afin de les faire bander au maximum avec les testicules collés dessus puis exhibés sur les étagères en guise de trophée. Ali dans son affolement ne s'était pas rendu compte que les femmes avaient désertées le lieu et qu'il était seul à présent. Il appela à l'aide mais seul le perroquet lui répondait en écho qu'il cherchait de l'or.
Les "amazones " qui avaient fort à faire le laissèrent ainsi jusqu'au jour suivant, Ali en pensant qu'il allait se faire scalper le sexe ne dormit pas de la nuit, c'était vrai que sa ziggourat n'était pas bien grande et qu'elle n'avait jamais servi mais il tenait tout de même à ses "bijoux de famille". Il promit à Allah si celui-ci le sortait de ce mauvais pas, de jouir journellement des bienfaits de ce membre que la nature lui avait donné. Mais vu sa posture, Ali se voyait transformé en eunuque et se présenter ainsi comme garde du harem du sultan.
"Sésame" s'ouvrit le lendemain de bonne heure et laissa apparaître dans l'entrée la femme qui avait acheté le perroquet. Ali geignit pour qu'elle le libère mais elle lui répondit, qu'elle et ses compagnes voulaient un peu jouer avec lui avant de décider de son sort.
Tout en lui expliquant le déroulement des opération la femme qui faisant une danse du ventre accompagnée par cinq de ses acolytes musiciennes s'approchait de plus en plus du lit où était allongé Ali qui ne pouvait toujours pas bouger. Elle était belle et sensuelle, ses gestes étaient plus qu'équivoques, elle excitait l'homme à sa merci d'un regard de braise. Ali ayant peur pour sa virilité ne réagit pas, cette pensée lui coupait tous les effets et la femme eut beau chauffer l'ambiance, elle n'obtint pas le résultat escompté.
Ali ne voulant pas faire cadeau d'un nouveau trophée aux "amazones" ferma les yeux pour ne plus être tenté, voyant cela la femme se posa des questions sans la nature profonde de son hôte et se demanda s'il ne faisait pas partie des mignons du royaume. Elle appela une de ses compagnes experte en turlute mais celle-ci eut beau lécher, sucer, aspirer rien n'y fit et la "ziggounette"resta raplapla. Elles se mirent à trois, à quatre, à dix à le séduire, le caresser mais rien ne se passa, Ali restait de marbre obsédé par la pensée de se faire châtrer.
De guerre lasse, les quarante femmes se réunirent dans un coin de la caverne et se questionnèrent pour savoir quoi faire de leur prisonnier. Certaines voulaient le relâcher tout nu pour lui donner une bonne leçon, d'autres le vendre comme esclave, le conciliabule se transforma en cacophonie quand leur chef eût une idée de génie.
Elle fit appeler la femme de ménage prénommé Arthur pour qu'il tranche la question. Arthur se pressa de venir en aide à sa maîtresse et se dirigea rapidement vers Ali en tortillant des fesses et lui demanda d'une voix aiguë ce qui lui plaisait dans les relations entre hommes.
La "maîtresse" sous les yeux des ses compagnes intéressées au plus haut niveau par la scène, chercha un des phallus sur une des étagères qu'Arthur de mit à sucer goulûment. Ali ne put s'empêcher de traiter Arthur de vendu, de salaud et d'autres ignominies plus atroces.
A ces mots peu aimables, Arthur vit son flageolet doubler, voir quadrupler de volume, les femmes en profitèrent pour s'empaler les unes après les autres dessus, celles qui ne reçurent rien, car Arthur était plus enclin à aller vers les hommes, prirent les trophées sur les étagères et se satisfirent avec.
La caverne raisonnait des cris de jouissance de ces femelles en rut, la queue d'Ali grimpa sans même qu'il ne s'en rende compte et au même moment, il poussa un cri d'effroi ne sachant comment masquer la chose. Il supplia pour ne pas être châtrer et promis aux femmes de leur faire tout ce qu'elles voulaient.
La chef des "amazones" lui délia un poignet et lui fit tâter un phallus. Ali hésita mais comme il avait promis de faire tout ce que ces fichues femelles voulaient, il tâta et remarqua la rigidité de l'objet en question, il le sentit même vibrer dans sa main. Les femmes lui expliquèrent que c'était du latex et que ces objets à plaisir venaient d'Europe, que c'était en fait des faux sexes et que cela s'appelait des godemichés, qu'elles s'en servaient quand elles ne pouvaient satisfaire leur désirs sexuels autrement.
Elles détachèrent Ali et le traitèrent comme un vrai sultan, c'est ainsi qu'au milieu des quarante agresseuses Ali apprit à contenter les caprices de ces dames, il devint rapidement expert en la matière au point que pour le récompenser, elles lui firent cadeau d'une grande partie de leurs richesses.
Quand "Sésame" s'ouvrit à nouveau pour rendre la liberté à Ali et que celui-ci retourna au souk monté sur un cheval blanc, les commerçants lui demandèrent d'où lui venaient toutes ses richesses. Ali leur narra son aventure mais personne ne le crut, tout le monde lui disait qu'il racontait des blabla mais celui-ci se moquait pas mal du "qu'en dira-t-on" car il savait qu'il allait épouser la princesse chère à son cœur.
Il se rendit au palais et demanda la main de la fille du sultan, il passa toute les épreuves avec succès au point que la future sultane confia à son père quelle n'avait jamais vu une aussi grosse et belle ziggourat !
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